Prête ou prêt pour un Zeste de Spiritualité ?
Aujourd’hui, un rêve sur la colère.
Pour visionner cette notion, c’est par ici : https://www.youtube.com/watch?v=dKk0KI1lGZg
La colère,
Le rêve,
Dans ce rêve, je me rappelle des escaliers en colimaçon, une faculté je crois et une personne. Je suis en colère contre cette personne. C’est une forte colère, vraiment intense, c’est ce qui m’a marquée. Cette colère m’envahie totalement. Je rage contre cet autre.
Et une énergie me demande : « contre qui es-tu en colère ? »
_ Contre untel !
_ Réfléchis bien…
Je comprends que ce qui se joue en moi est bien plus complexe (ou simple) qu’il n’y paraît.
La question se répète en insistant sur un mot : « Contre QUI es-tu en colère ? »
La réalité ? « Contre moi. » Alors que j’étais persuadée de l’être contre une personne, totalement persuadée.
J’entends : « Ce n’est jamais contre quelqu’un d’autre. »
Débrief sur la colère,
Au réveil, c’est étrange. Je comprends la notion et je suis plutôt en accord mais toutes mes tripes désavouent l’idée. Il faut être honnête quand tu ressens de la colère par rapport à un vécu, tu la ressens vraiment par rapport à quelqu’un d’autre en général. En tout cas, c’est ce qu’il te semble,
Et au final, que tu y crois ou non, ta colère est dirigée vers toi. C’est toujours pour rapport à toi.
Qu’est-ce que tu as fait ou non, vu ou pas vu, pensé ou non, accepté trop longtemps ou non, pour que cette colère là naisse ? Quelle vision des choses ?
Que te reproches-tu ?
Se pardonner
Ce qui est absolument génial, c’est de comprendre que quand on a réalisé que cette notion est vraie et, qu’on parvient à se pardonner, tout s’évapore, là en un rien de temps !
C’est extraordinaire !
Comment arriver à se pardonner ?
Là, ça se complique. Parce que, comme l’amour que l’on ressent, le pardon est une émotion pure et sincère. Le pardon se ressent, il n’est pas raisonné. Il ne suffit pas de dire « je lui pardonne » ou « je me pardonne » pour que cela soit. Alors quoi ? Je suis condamné à garder la colère en moi ?
Non, rassure-toi 😉
Prie.
Ah ouais carrément !
Ben oui, carrément… Ce que j’entends par là… C’est… regarde le meilleur qui existe en toi, ce petit bout d’humanité qui traîne quelque part ou qui envahit l’espace selon qui tu es, demande-lui de t’aimer sans condition, demande à cette partie de toi ou demande à la Vie/Dieu comme tu voudras de te faire t’aimer suffisamment pour que tu ressentes ce pardon. Puis offre ce que tu as de meilleur au monde, à tes proches.
Tu verras, un jour, tu ressentiras un amour infini t’envahir pour cet autre que tu pourras différencier de la situation et… tu sauras, c’est ça le pardon, celui qu’on ressent, un jour, profondément. Quelques secondes de pureté.
Puis tu reprends ta vie, plus léger(ère).
Ps : Voici une histoire messagère au sujet de la Foi qui devrait vous épauler.
Peut-être une perception supplémentaire de la colère à y trouver 😉