Coucou


Enfance

       Toute petite déjà je rêvais nombre d’enseignements. Mes songes étaient parsemés d’êtres lumineux, d’apparence humaine ou non, par moment c’était de simples mots qui résonnaient dans l’air, l’eau ou la neige, des voix se faisaient entendre comme un écho. Des rêves merveilleux (amour ressenti, informations incroyables, cours de biologie cellulaire, endroits si…), des rêves étranges (peut-être plus classiques ceux-là donc je ne les notais pas), des rêves inquiétants (annonce d’un bouleversement 10 ans avant qu’il ne se produise). 
 
       Vers 17 ans, j’ai décidé que je ne voulais plus de ces enseignements, j’ai, émotionnellement, tout verrouillé. Le monde concret, sachant tout ce que je savais, n’avait plus vraiment de sens ; j’avais besoin d’en retrouver. Ça a duré 11 ans environ.  
 

2009

       En 2009, tout s’est ré-ouvert, intensément, puissamment, chaque nuit plusieurs enseignements se bousculaient. Je devais les écrire de nuit pour ne pas oublier. À la fin du rêve, marquée, je me réveillais, je notais tout, puis je me rendormais.
C’est toujours ce qui se passe, mais heureusement pour mon sommeil moins souvent dans la nuit. Ma demande de dormir suffisamment a été entendue. Alors, vers 5h je m’éveille, encore fatiguée, puis je me rendors 1h et c’est là que les rêves interviennent. C’est parfait ainsi, je suis bien reposée.
 

Contenu

       Ici, je te raconte des rêves remplis d’enseignements, de tendresse, d’histoires, d’anecdotes.
Consciente que je dois transmettre depuis longtemps, j’ai préparé ce blog et me suis inscrite sur des réseaux sociaux pour me lancer.
J’ai eu besoin de nombreuses années avant de transmettre en public, de nature plutôt scientifique, cartésienne, tout cela me posait tant de questions.
 

Parfois, c’est écrit

       Je ne compte plus les rêves où on me l’indique : « transmets », « écris ». J’ai fini par me dire que ce n’était pas un hasard si ces verbes étaient conjugués à l’impératif dans ces moments-là (car le ton n’était pas du tout donneur d’ordre). Transmettre devenait impératif.
Il y a eu cette rencontre aussi, il y a quelques années, une femme que j’ai croisée une journée, à qui je me suis confiée (pourquoi elle ?).
Elle m’a crue, sans jugement, et m’a simplement dit :


 
« S’il existait un traitement sûr contre le cancer, tu ne le donnerais pas non plus ? »


 
Je ne m’attendais pas du tout à sa réponse… Elle m’a marquée. Et pourtant, il m’a fallu encore quelques années.

Il y aurait encore tant à dire mais pour finir, une anecdote réelle (dans la vie, non dans un rêve) amusante, j’ai acheté un jeu de cartes et lors d’un tirage est tombé : « écrivez, vous le pouvez, écrivez, vous le pouvez ». C’est ainsi que j’ai découvert qu’il manquait deux cartes dans mon jeu et qu’à la place, deux étaient en double « Écrivez » et « Vous le pouvez ».




Alors oui, ça a pris du temps, mais l’essenCiel est là : je prends du service ! 
 
    Pitchoune

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